En 2019, les réformes ont porté le pouvoir d’achat des Français et fait reculer le taux de pauvreté (Insee)
Dans le Portrait social de la France publié par l’Insee, il apparaît que les ménages aux revenus intermédiaires ont tiré les gains les plus importants des réformes fiscales et sociales en 2019.
Cette étude publiée par l’Insee, institution indépendante, met en lumière l’impact positif des réformes fiscales et sociales sur le pouvoir d’achat des Français, en particulier celui des classes moyennes et inférieures.
Conformément à l’engagement du président de la République et de l’ensemble de la majorité, les réformes engagées depuis le début du quinquennat ont eu un triple effet :
- Amélioration du niveau de vie moyen des Français.
- Réduction des inégalités.
- Baisse du taux de pauvreté.
Des réformes qui réduisent les inégalités et le taux de pauvreté
- En 2019, les réformes mises en œuvre ont accru de 1% en moyenne le niveau de vie des ménages à revenus intermédiaires (impact en année pleine), ce qui représente 250 euros par personne, et jusqu’à 340 euros maximum pour certaines catégories.
- L’étude de l’Insee montre que les 30% les moins favorisés ont été, en termes relatifs, avantagés avec une hausse de 1,8% en moyenne de leur niveau de vie.
- En 2019, les gains de pouvoir d’achat provenaient de la baisse des prélèvements directs à hauteur de 8 milliards d’euros (auxquels s’ajoutent 3,5 milliards d’euros de prestations sociales supplémentaires), dont la poursuite de la baisse de la taxe d’habitation (pour rappel, 80% des foyers fiscaux ne paient plus cette taxe depuis 2020, soit un gain de 590 euros en moyenne).
- Mesure de pouvoir d’achat, la revalorisation de la prime d’activité, décidée après la crise des « gilets jaunes », a eu un fort impact à la baisse sur le taux de pauvreté (-0,7 point de pourcentage).
- Le taux de pauvreté a aussi baissé de 0,2 point grâce aux revalorisations du minimum vieillesse et de l’allocation aux adultes handicapés, qui ont « contribué pour 11% à la baisse des inégalités ».
- Autres gagnants des réformes, les retraités des classes moyennes, pour qui la baisse de la CSG augmente le niveau de vie de 22 euros par an.
Consulter l’étude de l’Insee : « France, portrait social », édition 2020.