Les forêts à l’honneur

 

Je suis vice-président du groupe d’études forêt, bois, nouveaux usages et industrie du bois de l’Assemblée nationale.

J’ai été désigné, avec un de mes collègues, pour représenter l’Assemblée nationale au Conseil National Supérieur de la Forêt et du Bois. J’y ouvre le débat sur l’avenir et la viabilité économique de l’ensemble de la filière forêt-bois dans une réflexion à moyen-long terme.

Aujourd’hui,  je voudrais attirer votre attention sur la Journée Internationale des Forêts. Aujourd’hui, davantage encore que dans le passé, les bois et forêts sont d’une importance capitale.

Ils sont le poumon de la planète et un de ses remparts contre le réchauffement climatique. Vous pouvez retrouver ICI le site Internet de la Journée Internationale des Forêts.

 

Actions pour la forêt

Les députés La République en Marche et du Gouvernement sont engagés pour la forêt. En décembre 2020, un plan de relance pour la forêt a été mis en place. En faveur du renouvellement forestier, ce plan a bénéficié de 95 millions d’euros. 35 lauréats en gestion durable des forêts ont obtenu une meilleure visibilité financière. Cela leur a permis de conclure à leur démarrage des contrats de culture avec des pépinières.

Pour consulter les détails de ce plan de relance pour la forêts, cliquez-ici.

 

 

Tribune de défense pour la forêt

J’ai également rédigé une tribune sur la filière bois avec mon collègue Rémy REBEYROTE. Voici un extrait de celle-ci :

« la forêt est perçue plus comme un bien patrimonial qu’une formidable ressource de proximité, renouvelable et biosourcée, qui permet de répondre aux enjeux et défis de demain, dans de multiples domaines : la construction, la papèterie, le mobilier, l’énergie et dans bien d’autres secteurs comme la chimie ou la santé. De plus les nouvelles technologies offrent des perspectives considérables pour le bois et ses nouveaux usages.

Malheureusement nos forêts souffrent : morcellement, sécheresse, scolyte, incendie, surpopulation de gibiers, etc…, l’ensemble de la filière et ses acteurs sont impactés, de l’amont à l’aval, des exploitants, des entreprises de la première transformation (scieries), aux acteurs de la deuxième transformation (construction, mobilier).

Au sein de l’Assemblée Nationale et du Sénat, notamment dans les groupe d’études Forêts/Bois & Usages, après deux ans de rencontres avec les acteurs de la filière, d’auditions, de déplacements, nous sommes convaincus de la nécessité  d’un « Plan Marshall » pour soutenir l’amont, et développer l’aval; un plan créateur d’emplois dans la gestion durable de la forêt et son exploitation, dans la première transformation du bois et dans la deuxième transformation ; construction, mobilier, etc.; autant d’emplois pérennes et ancrés dans nos territoires. »

Retrouvez la en entier ici.